Voici une pensée chrétienne que Dieu me met à cœur pour mes amis du Net :
Ce qui réjouis ton cœur, c’est une vie spirituelle véritable qui découle de la conversion du cœur et de la vie nouvelle et non une illusion de la foi
« … Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Matthieu 18 :3).
Adressez cette prière à Celui qui attend de nous une véritable conversion du coeur :
Ce qui réjouis ton cœur, c’est une vie spirituelle véritable qui découle de la conversion du cœur et de la vie nouvelle et non une illusion de la foi
« … Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Matthieu 18 :3).
Adressez cette prière à Celui qui attend de nous une véritable conversion du coeur :
« Seigneur Jésus-Christ, tu es la vérité et seule ta vérité libère. Ceux qui te connaissent véritablement aiment la vérité et manifestent ta lumière ; car ta vérité est lumière et toute action de lumière n’a pas honte d’être portée à la connaissance de ceux qui cherchent à comprendre et n’a pas peur de la manifestation de la vérité. Le mensonge ne peut se substituer à la vérité ni même lui servir de béquille pour l’aider à tenir débout. Le mensonge ne peut devenir la vérité car la vérité est l’opposé du mensonge et de tout ce qui est faux. La lumière est l’opposé des ténèbres. Les œuvres des ténèbres ne trouvent leur force que de se cacher et d’agir dans les ténèbres car en apparaissant à la lumière du grand jour elles seront mises à découvert. Or, cette lumière qu’elles craignent tant ne manquera pas de pointer à l’aube du grand jour ; ce jour dont l’arrivé est beaucoup redouté par ceux qui sont puissants dans les ténèbres parce que ta lumière n’est point en eux puisqu’ils se sont mis au service du Prince des ténèbres. Seigneur Jésus-Christ, tu es la vérité et tu aimes ce qui est droit car, tu es juste et tu ne peux te réjouir de l’injustice mais tu te réjouis seulement de la vérité. La vérité est la nature même de l’amour dont tu es la manifestation par excellence ; toi tu es amour par essence (Jean 3 :16 ; 14 :6 ; 1Corinthiens 13 :6 ; 1Jean 2 :3-11 ; 3 :7-13). Ton esprit sème en chacun de ceux qui croient vraiment en toi, ton amour, ta vérité et ta justice. Il nous aide à obéir à tes commandements (1Jean 5 :1-6). C’est pourquoi, tu es indigné de nous voir mépriser tes ordonnances alors que nous respectons à la lettre les dernières paroles de nos bien-aimés comme si les paroles de nos morts avaient une plus grande valeur à nos yeux que tes préceptes, de toi le Dieu vivant et vrai. Seigneur Jésus-Christ, quand tu vis en nous, tu accomplis aussi au travers de nous tes œuvres. Tu vis en nous au travers de ton Esprit de vérité et de vie. Par lui tu nous montres le chemin à suivre et tu nous enseignes, tu nous défends et tu nous consoles (Jean 14 :6,10-14 ; 15 :26,27). Si nous sommes avec toi, c’est le sûr moyen pour nous de développer notre personnalité à ta ressemblance ; de devenir quelqu’un de dynamique pour toi (Marc 3 :14 ; 2Corinthiens 3 :18). On ne peut vivre dans l’intimité de ta personne sans que d’autres s’en aperçoivent ; car ton Evangile a de l’impact sur notre entourage. Ton Saint-Esprit rend nos paroles convaincantes et nous aide à vivre ta vie et à produire tes fruits (Jean 15 :4,5). Ce qui réjouis ton cœur, c’est une vie spirituelle véritable qui découle de la conversion du cœur et de la vie nouvelle et non une illusion de la foi. Rien d’autre ne s’aurait se substituer à la foi authentique qui est une recherche véritable du vrai Dieu et une relation intime avec lui. Le paganisme christianisé, le culte du pouvoir et de l’argent sont une dépravation de la vraie foi et révèlent l’absence d’une nouvelle naissance et d’une conversion véritable à toi Seigneur Jésus-Christ. Tu veux nous voir vivre une foi sincère, d’un cœur humble, pur et sans hypocrisie aucune comme celui d’un enfant. C’est pourquoi, tu as dis à tes disciples ces paroles qui restent vraies encore pour nous aujourd’hui : « … Je vous le dis en vérité, si vous ne vous convertissez et si vous ne devenez comme les petits enfants, vous n’entrerez pas dans le royaume des cieux. » (Matthieu 18 :3). On ne peut vivre en communion avec toi sans avoir pleinement confiance en toi comme un enfant a pleinement confiance en ses parents. Tu veux être suivi par des disciples vraiment convertis et non par des contrefaçons de chrétiens qui ressemblent bien plus à des tombeaux blanchis qu’à des gens qui ont été avec toi et qui connaissent tes désires et veulent réjouir ton coeur. Les personnes « aux cols blancs » et dont les cœurs sont des abîmes des ténèbres, sont incapables de montrer pâtes blanches et de prouver que leur cœur a été lavé par le sang de l’Agneau de Dieu qui a été immolé à la croix pour ôter nos péchés. Ces chrétiens qui discréditent la foi chrétienne ne s’auraient réjouir ton cœur même avec leurs grosses Bibles en mains qu’ils prêchent sur des chaires en vitre où en marbres dans des grands édifices de culte et refusent de vivre le contenu du message qu’ils communiquent au peuple venu les écouter. Le peuple spirituellement malade et aveugle n’a pas besoin de paroles flatteuses pour endormir sa conscience et continuer à vivre dans le péché en attendant que chacun d’eux soit accompagné à la tombe un jour par une foule nombreuse de personnes tout en ignorant l’aboutissant de la porte de cette tombe. Il a plutôt besoin d’être préparé pour affronter l’éternité en ayant soif et faim de la Parole du Dieu vivant et vrai, mais aussi en ayant devant lui des modèles d’inspiration pour les encourager dans la bonne voie et les aider à apprendre à marcher avec toi, Seigneur Jésus-Christ, et à observer tes ordonnances dans leur vie quotidienne dans la crainte de ton nom et pour réjouir ton cœur. Ainsi, aucun d'eux ne se verra rejeté à la porte d’entrée de ta félicité éternelle; car ce ne sont pas tous ceux qui te disent Seigneur, Seigneur qui entreront dans ton Paradis; mais seulement ceux qui ont la crainte de ton nom, qui t’obéissent et observent tes commandements (Matthieu 7 :19-23). Car, comment peux-on prétendre parler au nom de Dieu et agir contrairement à ce que tu nous enseignes et être le contraire de ce que tu es? Seigneur Jésus-Christ, tu es attristé de voir des gens qui se réclament de ton nom se cacher derrière des chaires des édifices de culte ou à l’intérieur des temples et qui agissent à ton égard comme si tu étais une des divinités de la fécondité de l’antiquité que les adeptes adoraient tout en se prostituant où comme si tu étais un grand fétiche d’un des peuples ou tribus de l’Afrique ou d’ailleurs qui ne voit pas au-delà de l’intérieur de son temple et qui est absent dans le reste de la vie quotidienne de ses adorateurs qui, une fois sortis de leurs églises ou temple s’en moquent de ce dieu aveugle. Non !!! Seigneur Eternel, Jésus-Christ notre Sauveur, tu es le Dieu vivant et vrai devant qui nul ne peut se cacher. Tu sondes les cœurs, les reins et les voies de chaque être humain (1Chroniques 28 :9 ; 29 :17 ; Job 13 :9 ; Psaumes 7 :10 ; 11 :5 ; 26 :2 ; 139 :23 ; Jérémie 11 :20 ; 17 :10 ; Romains 8 :27 ; 1Corinthiens 2 :10 ; 1Thessaloniciens 2 :4 ; Apocalypse 2 :23). Seigneur Jésus-Christ, tu regardes au-delà de la posture vestimentaire de culte et au-delà de l’éloquence à la chaire. Tu mets à nu les cœurs et tu contraries les consciences quand tu nous donnes d’avoir des yeux à notre cœur qui nous permettent de voir ta lumière qui met à nu nos œuvres de la chair et les œuvres des ténèbres comme si elles étaient exposées en plein jour dans un lieu public. Les péchés cachés sont aussi odieux devant tes yeux que ceux qui sont mis à découverts et qui font l’objet de séisme naturel ou de cataclysme provoqué pour leurs auteurs devant les juridictions de ce monde ; car pour toi, convoiter une femme est synonyme d’adultère et haïr son frère est aussi coupable et criminel qu’un assassinat. Oui pour toi, le Dieu juste et saint, il n’y a pas de petits péchés ni des péchés de loisirs et le chrétien ne s’aurait être à moitié pour toi et l’autre moitié pour le Diable. C’est pourquoi, ceux qui comme le roi Achab, dans la Bible, se vendent à l’Eternel, subiront comme Achab le jugement divin déjà sur cette terre parce qu’ils ont décidé de faire ce qui est mal aux yeux de l’Eternel Dieu en se comportant en assassins et en voleurs des personnes faibles comme Naboth qu’ils éliminent par des complots afin de les déposséder de leurs biens et du fruit de leurs labeurs en suivant en cela l’exemple d’Achab qui a tué Naboth pour le déposséder de son champ et de sa vigne ; assassina dont il c’est rendu coupable avec le soutien des amis, des fils et des filles du mensonge et du Père du mensonge, le Prince des ténèbres (1Rois 21 :17-29). Si on peut tolérer les actes de vandalisme de ceux que certains appellent « des délinquants inconscients », comment peut-on tolérer que des délinquants conscients et bien lucides, car éclairés par les Saintes Ecritures, et supposés avoir l’Esprit de Dieu en eux et qui sous prétexte que ces gens disent agir au nom de Dieu, commettent des actes semblables ou pires que ceux posés par « des délinquants inconscients » sans pour autant être inquiétés et peuvent même se donner du plaisir ou de la peine à chercher des poux sur une tête rasée; car engagés corps et âme à trouver des moyens de provoquées des preuves ou d'en fabriquer par des étoffes de mensonges cousues de toutes pièces pour les faire ressembler à la vérité afin de pouvoir renverser en leur faveur une situation qui les embarrasse et de pouvoir traquer et mettre définitivement à l’oubli leur Naboth pour ainsi arriver à posséder en toute légitimité ce qui légalement ne leur appartient pas. Seigneur tu vois ce qui se passe et combien le cœur de l’homme est méchant et peut digne de confiance. Seul toi, Eternel notre Dieu, le Juste et plein de bonté, nous délivres de ceux qui cherchent à nous détruire. Tes yeux voient ceux qu’ils ont placé par ci et par là pour nous espionner, pour suivre tous nos mouvements, découvrir le contenu de nos documents, comme si nous avions des secrets non découverts qu'ils ont besoin de découvrir pour s’en servir à leurs fins, ou comme s’ils avaient peur que la vérité qui les embarrasse tant, ne soit connue... Seigneur mon Dieu, Tu vois les inconnus qui restent cachés dans les ténèbres et qui agissent au travers des personnes interposées qui sont à leur service pour faire barrage à l’aboutissement de nos actions, au progrès de ton oeuvre. Quoi que puissant dans les ténèbres, tu es plus puissant qu'eux car tu es le Tout-Puissant et tu mets à l'échec leurs stratèges et tu glorifie ton saint et puissant nom en bénissant tes bien-aimés qui ont confiance en toi. Tu nous mets à l’abri contre les pièges dressés par l’ennemi de nos âmes. Tu nous délivres des accidents provoqués et... tu nous gardes en vie. Comme pour ton serviteur David, et des Prophètes et de Paul dans la Bible, tu me délivres, m’arraches et me sauves des cornes des taureaux aussi bien que des coups des phacochères, de la glaive destructrice de l'ennemi de nos âmes, de la patte de l’ours aussi meurtrière que les griffes d’une panthère aux aguets, de la gueule du lion aussi cruelle que celle d’un hippopotame en colère (1Samuel 17 :37 ; Psaumes 22 :11-14, 21,22 ; 2Timothée 4 :17,18 ; Hébreux 11 :32-34. Tu nous mets à l’abri des manœuvres cachées des détecteurs privés, qui s’ils sont honnêtes ne trouveront que des copies exactes des réalités qui sont des vérités déjà connues de ce qui nous concerne ; car accomplies en plein jour et en toute intégrité de cœur; avec certes les lacunes d’un homme imparfait qui préfère cependant être coupable de péchés d’omissions, faits par ignorance, que de péchés de commissions qui sont accomplis en toutes intelligence. Tu nous fais oublier nos jours de malheur ; tu nous rassasie chaque matin de ta bonté ; tu nous fera connaître ta joie toute notre vie durant sur terre afin que notre allégresse soit connue et mette nos ennemis dans la confusion et qu'ils soient honteux; eux qui avaient programmé notre ruine et notre mort. Tu nous fortifies, tu nous réconfortes par ta présence, tu nous affermis par tes promesses qui sont oui et amen. Tu affermis l’ouvrage de nos mains, tu oint d’huile nos têtes et tu nous combles jusqu’à ce que notre coupe déborde car tu nous consoles de nos détresses et tu délivres notre vie de la mort (Psaumes 23 ; 90 :14-17). Tu sais faire la différence entre celui qui croit en ton nom, te sert d’un cœur sincère et trouve à tes pieds son refuge d’avec celui qui n’a aucun égard à la crainte qui est dû à ton saint nom, qui sert son ventre au lieu de te servir et qui méprise tes saintes ordonnances. Que de personnes « aux cols blancs » seraient dans une grande confusion et la honte si tu déroulais ta presse et si tu faisais paraître sur les écrans du monde ce que tu sais d’eux, ce qui se fait à l’ombre par ces personnes qui passent aux yeux du monde comme des personnes respectables, « des presque saints ». Pourtant devant toi, l’Enfer serait plus approprié pour eux qu’une prison du monde qui serait comparable à un paradis pour eux. Heureusement que ta grâce surabondante continue à lancer à nos consciences ton appel à la repentance car, sinon le jour viendra où tu mettra effectivement tout à nu et faire sortir en spectacle toutes actions mauvaises et cachées, déjà dans la vie présente ou en tout cas lorsque tu quitteras ton trône de la grâce pour t’asseoir sur ton trône de jugement où chacun de nous devra répondre de tout ce que nous aurons fait étant dans notre corps en bien comme en mal et recevoir pour les uns les récompenses et la félicité éternelle et pour les autres la damnation pour aller pour un séjour d’éternité à l’Enfer. Tu as déclaré : « … C’est fait ! Je suis l’alpha et l’oméga, le commencement et la fin. A celui qui a soif je donnerai de la source de l’eau de la vie, gratuitement. Celui qui vaincra héritera ces choses ; je serai son Dieu, et il sera mon fils. Mais pour les lâches, les incrédules, les impudiques, les enchanteurs, les idolâtres, et tous les menteurs, leur part sera dans l’étang argent de feu et de soufre, ce qui est la seconde mort… Voici, je viens bientôt, et ma rétribution est avec moi, pour rendre à chacun selon ce qu’est son œuvre. Je suis l’alpha et l’oméga, le premier et le dernier, le commencement et la fin. Heureux ceux qui lavent leurs robes, afin d’avoir droit à l’arbre de vie, et d’entrer par les portes dans la ville ! Dehors les chiens, les enchanteurs, les impudiques, les meurtriers, les idolâtres, et quiconque aime et pratique le mensonge ! » (Apocalypse 21 :6-8 ; 22 :12-15). Seigneur Eternel notre Dieu, tu es un Dieu d’équité, plein de grâce et de compassion pour tes bien-aimés qui comptent et espèrent en toi (Esaïe 30 :18). Dans un monde où l'innoncent est traqué, le bienfaiteur espionné, pillé et dépossédé du fruit de sa labeur, le malfaiteur par contre libre de mener ses forfaits par la force de la corruption, tu demeure cependant le Dieu Juste qui défend le cause du juste car tu ne manquera pas de trouver des hommes et des femmes qui ont la crainte de ton nom dans leur cœur et qui refusent de se courber devant le dieu baal de l’argent de la corruption et qui défendront le droit selon la crainte qui est dû à ton saint nom. Car tu ne fausses pas le droit ; oui tu ne fausses pas la justice. Tu interviens en faveur de ceux qui craignent ton nom pour restaurer le domaine qui abrite leur justice et rendre meilleur leur nouvelle condition (Job 8 :3-7). « Celui qui absout le coupable et celui qui condamne le juste sont tous deux en abomination à l’Eternel… Il n’est pas bon de condamner le juste à une amende, ni de frapper les nobles à cause de leur droiture » (Proverbes 17 :15,26). Même la femme de Pilate, l’impie de l’empire romain de l’époque, avait une conscience qui l’a amené à avertir son mari de ne pas se rendre coupable de la mort du Juste. Mais Pilate le corrompu n’a pas écouté le conseil de sa femme et a ordonné que toi Jésus-Christ le juste sois crucifié et Barabbas le criminel soit relâché et mis en liberté et ainsi Pilate c’est rendu célèbre non pour un bienfait rendu mais pour avoir ordonné la crucifixion d’un homme juste, toi Jésus-Christ, sur une croix romaine à Golgotha à la sortie de la ville de Jérusalem vers l’an 29 ou 30 de notre ère (si l'on situe la naissance de Jésus-Christ à l'an 5 av. J.-C. et son baptême au début de l'an 27 après J.-C. lorsqu'il avait 30 ans au moment où il commença son ministère public Luc 3:23; Matthieu 27 :19-26). Ce monde corrompu et trompeur prendra fin un jour subitement pour laisser s'ouvrir une nouvelle page où le jugement divin se réalisera pleinement pour justifier et récompenser avec des biens éternels les justes et les bienfaiteurs qui croient en toi, l’Agneau de Dieu qui hôte le péché du monde, et pour condamner et envoyer à l’Enfer, l’étend ardent de feu et de soufres éternelles, les réprouvés, les malfaiteurs, les corrompeurs et les corrompus du présent siècle et leurs devanciers et ceux qui imiteront leurs voies. Tu jugeras aussi les Pasteurs infidèles qui paissent les brebis pour la boucherie ; s’engraissent de leur chair, les vendent pour s’enrichir et qui n’ont aucun soucis réel du bien-être des brebis et ne les comptent qu’en valeur monétaire de ce qu’elles peuvent leur rapporter pour leurs permettre d’être compter parmi les hommes influents et puissants selon le monde au sein de leur communauté et de leur pays. Ces Pasteurs là, sont beaucoup plus des mercenaires que des bergers qui donnent leurs vies pour leurs brebis (Zacharie 11 :1-17 ; Jean 10 :1-15). Le déclin moral au sein de la société commence par le déclin spirituel au sein de l’Eglise et la guérison morale de la communauté commencera aussi par le réveil de l’Eglise au sein des communautés et de la nation. Seigneur, tu ne peux fermer les yeux et laisser ton peuple périr et ton Eglise être pris en otage. Tu traites sans passe droit et sans démesure car seul ton sang couvre et gracie celui qui s’humilie, se repent et se confie en toi pour le présent, pour le futur et pour l’éternité. La fortune que possède une personne ne change rien dans tes ordonnances qui sont immuables. Avec toi pas de justice à deux ou trois vitesses et pas d’avocats qui mangent à deux ou trois tables dans une même affaire. Tu es le Juge intègre. Tu es l’Avocat qui aime et défend le droit selon la vérité et tu te refuses de vendre le droit du pauvre. Ton amour ne t’amène pas à marcher sur la vérité car tu es juste et tu juges avec droiture de cœur. Entre ton amour et ta justice, il y’a un parfait équilibre qui te permet de rester à la foi amour et justice pour tous les êtres humains ; ceux qui répondent oui à la manifestation de ta grâce et ceux qui tournent leurs dos à l’appel de ton amour. Tu seras juste dans tes sentences. Tu es le Dieu Souverain dans toutes tes actions. Tu es incomparable. Tu gardes ton alliance de bienveillance envers ceux qui se confient en toi. Tu t’es chargé de moi dès le ventre de ma mère ; tu m’as porté dès avant ma naissance et tu promets de continuer à me soutenir jusqu’à mes cheveux blancs et à me préserver comme tu l’as toujours fait dans ta fidélité (Esaïe 46 :3-5). A mes interrogations, tu as les réponses appropriées qui me rassurent. Aussi avec le Prophète Esaïe je proclame : « Voici, Dieu est ma délivrance, je serai plein de confiance, et je ne craindrai rien ; car l’Eternel, l’Eternel est ma force et le sujet de mes louanges ; c’est lui qui m’a sauvé. Vous puiserez de l’eau avec joie aux sources du salut, et vous direz en ce jour-là : Louez l’Eternel, invoquez son nom, publiez ses œuvres parmi les peuples, rappelez la grandeur de son nom ! » (Esaïe 12 :2-4). Aussi, face à l’insécurité grandissante, aux crépitements des armes à feu des mutins dans nos quartiers et près de nos habitations et au traumatisme que cela cause pour les populations, c’est auprès de toi que nous nous abritons et à tes pieds nous trouvons refuge et nous nous sentons en sécurité sous tes ailles qui nous couvrent car tu dis : « Que mille tombent à ton côté, et dix mille à ta droite, tu ne seras pas atteint… Aucun malheur ne t’arrivera, aucun fléau n’approchera de ta tente » (Psaumes 91 :8,10). Je dis alors avec le Psalmiste : « Celui qui demeure sous l’abri du Très-Haut repose à l’ombre du Tout-Puissant. Je dis à l’Eternel : Mon refuse et ma forteresse, mon Dieu en qui je me confie ! » (Psaumes 91 :1-2). Seule une vraie conversion à toi Seigneur Jésus-Christ nous met au bénéfice de toutes tes merveilles et des grâces nombreuses que tu mets à notre disposition. Merci pour le pardon de mes péchés, merci pour ton salut et le don de la vie éternelle que tu m’accordes. Je béni dès aujourd’hui et pour l’éternité ton saint et merveilleux nom. Amen ! »
Pour répondre à la pensée voici notre Email : samuelouise@yahoo.fr Voir les autres pensées : Archives sur les pensées chrétiennes ou en ouvrant l'un des liens de nos partenaires: Un tour au Burkina Faso sur partage28.com ; Pensées de la semaine sur cijevangile.net
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Pasteur Jean-Marc AUSSET, de France, a répondu le 29/06/2011:
Tu seras comme un jardin arrosé
« Tu seras comme un jardin arrosé, comme une source dont les eaux ne tarissent pas » : Esaïe : ch 18 v 11
« Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle » : Jean ch 4 v 14
Mon cher Samuel,
Voici les versets que m’ont inspiré la lecture de ta prière du jour ainsi que la récente découverte d’une nappe phréatique abondante en eau et prometteuse de vie pour beaucoup.
Quel grand sujet de joie et de reconnaissance envers Dieu qui est fidèle dans ses promesses !
Désormais, les champs environnants pourront être ensemencés, plantés et irrigués avec l’assurance de récoltes abondantes. Désormais, nombreux seront ceux qui pourront bénéficier des fruits de la terre et voir leur cœur allégé de l’angoisse du lendemain.
Il faut avoir souffert de la sécheresse et de la soif pour pouvoir prendre la mesure du caractère vital de l’eau. Ici, le qualificatif « vital » prend tout son sens dès lors qu’il est le constituant principal de tout organisme vivant (90% chez les végétaux et 65% chez les hommes).
En dessous d’un certain seuil, les mécanismes biologiques sont perturbés et si cet état perdure, la mort est inéluctable.
La soif est le premier signal d’alerte d’une baisse de volume d’eau et, en conséquence, de celui du sang. Par la suite, le foie n’assure plus sa fonction de distribution d’éléments énergétiques, puis les reins leur fonction épurative et enfin, le cerveau déjà ralenti par manque d’oxygène finit par ne plus assurer son rôle de chef d’orchestre.
Soif, fatigue, crampes musculaires, hallucinations constituent le cortège de signes qui préludent à la mort ! Il suffirait, cependant, d’enrayer ce processus mortifère en redonnant à l’organisme les éléments vitaux qui lui font défaut, l’eau et le sucre !
Une telle description qui dépeint le malheureux égaré dans le désert ne saurait nous laisser indifférents en raison du caractère tragique de sa situation.
Or, il est un domaine qui devrait susciter en chaque être humain un intérêt tout aussi marqué,
c’est celui de l’état de santé de son âme.
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, fait état du besoin vital de l’âme humaine en ces termes, dans l’Evangile de Jean ch 7 v 37 :
« Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive !
Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture.
Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en Lui. »
Manifestement, Jésus-Christ connaissait les besoins de l’âme humaine et savait reconnaître les signes de la déshydratation spirituelle qui conduit à la mort spirituelle.
C’est pourquoi, Il mentionne ce premier indice que traduit la soif.
Or, voici qu’Il apporte un remède aux conséquences morbides et inéluctables d’un tel processus : qu’il vienne à moi et qu’il boive ! Autrement dit, qu’il mette en moi sa confiance et il sera sauvé !
Tes reins ne fonctionnent plus et sont infectés par les déchets du mal et du péché, confie-toi en moi et je te purifierais !
Ton foie n’est plus capable de te donner l’énergie pour affronter la vie avec dynamisme et optimisme, confie-toi en moi et je te donnerai les ressources nécessaires car je suis « le pain vivant descendu des cieux et tu n’auras plus jamais faim » !
Ton cerveau ne produit plus que des images faussées sur ton présent et ton avenir, comme dans un brouillard épais, confie-toi en moi car « je suis la lumière du monde » !
Ton avenir éternel te paraît obscur et incertain, confie-toi en moi car « je suis la résurrection et la vie » !
Ta vie te semble sans but inutile et stérile, dépourvue de sens, confie-toi en moi car « des fleuves d’eau vive jailliront de ton sein » ! Mieux encore, « l’eau que je te donnerai deviendra en toi comme une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle ! ».
Voilà le miracle de l’Esprit qui, non seulement, transforme la vie de celui qui le reçoit avec foi mais, de surcroît, lui permet d’être une source de vie jaillissante irriguant tout alentours.
Or, cette eau vive de l’Esprit véhicule avec elle le nutriment essentiel à toute vie véritable, à savoir l’amour éternel de Dieu !
Que le Seigneur Tout-Puissant, riche en miséricorde et en fidélité, vous accorde la grâce de répondre à la soif des âmes comme Il l’a fait pour la soif des corps.
Bien fraternellement
Jean-Marc
http://fr.netlog.com/predikantor« Celui qui boira de l’eau que je lui donnerai n’aura jamais soif, et l’eau que je lui donnerai deviendra en lui une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle » : Jean ch 4 v 14
Mon cher Samuel,
Voici les versets que m’ont inspiré la lecture de ta prière du jour ainsi que la récente découverte d’une nappe phréatique abondante en eau et prometteuse de vie pour beaucoup.
Quel grand sujet de joie et de reconnaissance envers Dieu qui est fidèle dans ses promesses !
Désormais, les champs environnants pourront être ensemencés, plantés et irrigués avec l’assurance de récoltes abondantes. Désormais, nombreux seront ceux qui pourront bénéficier des fruits de la terre et voir leur cœur allégé de l’angoisse du lendemain.
Il faut avoir souffert de la sécheresse et de la soif pour pouvoir prendre la mesure du caractère vital de l’eau. Ici, le qualificatif « vital » prend tout son sens dès lors qu’il est le constituant principal de tout organisme vivant (90% chez les végétaux et 65% chez les hommes).
En dessous d’un certain seuil, les mécanismes biologiques sont perturbés et si cet état perdure, la mort est inéluctable.
La soif est le premier signal d’alerte d’une baisse de volume d’eau et, en conséquence, de celui du sang. Par la suite, le foie n’assure plus sa fonction de distribution d’éléments énergétiques, puis les reins leur fonction épurative et enfin, le cerveau déjà ralenti par manque d’oxygène finit par ne plus assurer son rôle de chef d’orchestre.
Soif, fatigue, crampes musculaires, hallucinations constituent le cortège de signes qui préludent à la mort ! Il suffirait, cependant, d’enrayer ce processus mortifère en redonnant à l’organisme les éléments vitaux qui lui font défaut, l’eau et le sucre !
Une telle description qui dépeint le malheureux égaré dans le désert ne saurait nous laisser indifférents en raison du caractère tragique de sa situation.
Or, il est un domaine qui devrait susciter en chaque être humain un intérêt tout aussi marqué,
c’est celui de l’état de santé de son âme.
Jésus-Christ, le Fils de Dieu, fait état du besoin vital de l’âme humaine en ces termes, dans l’Evangile de Jean ch 7 v 37 :
« Si quelqu’un a soif, qu’il vienne à moi, et qu’il boive !
Celui qui croit en moi, des fleuves d’eau vive couleront de son sein, comme dit l’Ecriture.
Il dit cela de l’Esprit que devaient recevoir ceux qui croiraient en Lui. »
Manifestement, Jésus-Christ connaissait les besoins de l’âme humaine et savait reconnaître les signes de la déshydratation spirituelle qui conduit à la mort spirituelle.
C’est pourquoi, Il mentionne ce premier indice que traduit la soif.
Or, voici qu’Il apporte un remède aux conséquences morbides et inéluctables d’un tel processus : qu’il vienne à moi et qu’il boive ! Autrement dit, qu’il mette en moi sa confiance et il sera sauvé !
Tes reins ne fonctionnent plus et sont infectés par les déchets du mal et du péché, confie-toi en moi et je te purifierais !
Ton foie n’est plus capable de te donner l’énergie pour affronter la vie avec dynamisme et optimisme, confie-toi en moi et je te donnerai les ressources nécessaires car je suis « le pain vivant descendu des cieux et tu n’auras plus jamais faim » !
Ton cerveau ne produit plus que des images faussées sur ton présent et ton avenir, comme dans un brouillard épais, confie-toi en moi car « je suis la lumière du monde » !
Ton avenir éternel te paraît obscur et incertain, confie-toi en moi car « je suis la résurrection et la vie » !
Ta vie te semble sans but inutile et stérile, dépourvue de sens, confie-toi en moi car « des fleuves d’eau vive jailliront de ton sein » ! Mieux encore, « l’eau que je te donnerai deviendra en toi comme une source d’eau qui jaillira jusque dans la vie éternelle ! ».
Voilà le miracle de l’Esprit qui, non seulement, transforme la vie de celui qui le reçoit avec foi mais, de surcroît, lui permet d’être une source de vie jaillissante irriguant tout alentours.
Or, cette eau vive de l’Esprit véhicule avec elle le nutriment essentiel à toute vie véritable, à savoir l’amour éternel de Dieu !
Que le Seigneur Tout-Puissant, riche en miséricorde et en fidélité, vous accorde la grâce de répondre à la soif des âmes comme Il l’a fait pour la soif des corps.
Bien fraternellement
Jean-Marc
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Pasteur Koj - Tshikut - Sylvain, de la RDC, a répondu le 23/06/2011:
Cher frère en Christ bonjour.
Grandiose est ma gloire que je rend au Seigneur de misercorde pour pouvoir repondre dans laps de temps à nos requetes pour la situation alarmante qui s'est passée chez vous; une fois de plus qu'il soit loué à pertuité.
Merci aussi pour ce partage des pensées combien riche; certes la prière est notre repas quotidien : 1Tesal.5. 17
Pasteur Koj - Tshikut - Sylvain/ RDCongo
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Jean-Pierre Clair, de France, a répondu le 22/06/2011:
Bonjours chers amis,
Je vous remercie pour votre prière et j'ai grand plaisir à apprendre que le calme est revenu dans votre bonne ville de Bobo-Dioulasso. La paix est un don précieux pour vous tous et je n'ai jamais cessé de penser à vous qui méritez, mieux que tous, la paix du Seigneur. Nous sommes toujours prêts de vous et ne cesserons pas de pensez à tous nos frères et sœurs qui avez autant souffert tout en servant votre peupleet votre pays.
Nos fraternelles pensées et que l'avenir enfin vous offre le destin que vous méritez
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Jean-Pierre CLAIR
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Mme Jeanine CROS, de France, a répondu le 22/06/2011:
Merci Samuel pour la pensée, très édifiante, et rappelant avec justesse les écrits bibliques.
Heureux ceux qui souffrent pour la justice de Dieu, qui sont miséricordieux n'oubliant pas le prix de leur rachat, par notre Bien-Aimé Sauveur et Seigneur ; Heureux, heureux ceux qui ont le coeur pur, et reconnaissent leur misère en restant humbles...
( d'après Matt. 5.)
Nous ne voyons pas comme Dieu voit, mais lorsque nous acceptons avec joie qu'Il règne sur nos vies et nos coeurs, il nous fortifie, et nous soutient d'une façon miraculeuse, par son Esprit, Sa parole !
Que peut-il dire, à présent de ses églises en particulier ?
Nous voyons dans les écrits des prophètes que le coeur du Père est ému... qu'il appelle encore à la repentance, qui fait vivre véritablement puisqu'elle nous fait entrer dans l'intimité du Père ; Notre Divin Avocat a payé le prix que l'homme perdu ne soupçonnait même pas.
Que le Seigneur augmente toujours notre foi, et continue à encourager ses précieuses âmes fidèles, rachetées à si grand prix !
Que son nom soit glorifié ! Louons-le, proclamons sa victoire et sa majesté ! Prions, supplions, rendons grâces...
Bien fraternellement.
Jeanine.
Heureux ceux qui souffrent pour la justice de Dieu, qui sont miséricordieux n'oubliant pas le prix de leur rachat, par notre Bien-Aimé Sauveur et Seigneur ; Heureux, heureux ceux qui ont le coeur pur, et reconnaissent leur misère en restant humbles...
( d'après Matt. 5.)
Nous ne voyons pas comme Dieu voit, mais lorsque nous acceptons avec joie qu'Il règne sur nos vies et nos coeurs, il nous fortifie, et nous soutient d'une façon miraculeuse, par son Esprit, Sa parole !
Que peut-il dire, à présent de ses églises en particulier ?
Nous voyons dans les écrits des prophètes que le coeur du Père est ému... qu'il appelle encore à la repentance, qui fait vivre véritablement puisqu'elle nous fait entrer dans l'intimité du Père ; Notre Divin Avocat a payé le prix que l'homme perdu ne soupçonnait même pas.
Que le Seigneur augmente toujours notre foi, et continue à encourager ses précieuses âmes fidèles, rachetées à si grand prix !
Que son nom soit glorifié ! Louons-le, proclamons sa victoire et sa majesté ! Prions, supplions, rendons grâces...
Bien fraternellement.
Jeanine.