« Je suis le Cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous en pouvez rien faire » (Jean 15 :5).
Seigneur Jésus-Christ, c’est toi l’auteur de mon salut. C’est en toi que j’ai cru et reçu la vie éternelle. C’est aussi toi qui es venu demeurer en moi par ton Saint-Esprit qui me permet de vivre ta Vie et qui me rend capable de te servir. Demeurer en toi, fait toute la différence ! Nous ne pouvons rien entreprendre nous-même et le réussir sans ton assistance. Et sans ta vie en nous, notre vie restera stérile et ne pourra porter aucun fruit des vertus chrétiennes que seule ta vie est capable de produire en nous. C’est pourquoi en t’adressant à tes disciples tu as insisté sur la nécessité pour eux de demeurer en toi. Ton disciple Jean en rapportant tes paroles a écrit ceci : « Je suis le Cep, vous êtes les sarments. Celui qui demeure en moi et en qui je demeure porte beaucoup de fruit, car sans moi vous en pouvez rien faire » (Jean 15 :5). Seigneur Jésus-Christ, tu veux nous voir porter beaucoup de fruits à ton image, qui glorifient ton nom comme des sarments qui restent attachés au cep. Se réclamer de toi et ne pas manifester les traits de ta vie dans notre propre vie, c’est s’illusionner soi-même, c’est tromper le monde et c’est se moquer de Dieu. Ton salut est une œuvre que tu accomplis dans nos vies par la puissance du Saint-Esprit qui y opère le miracle de la transformation. Lorsque cette transformation n’est pas évidente, lorsque le péché continu à dominer notre, c’est que nous ne t’avons pas réellement rencontré ; car tu ne peux habiter dans un cœur sans y apporter la différence, sans transformer la vie de cette personne. C’est pourquoi tu as dit que celui qui demeure en toi et en qui tu demeures, celui-là porte tes fruits. C’est-à-dire que cette personne vie comme tu as vécu. Devenir chrétien, est plus qu’une adhésion intellectuelle ; c’est te recevoir personnellement dans son cœur et te laisser y accomplir quotidiennement le miracle de la transformation. La foi vivante en toi nous conduit à te reconnaître comme Seigneur de notre vie et elle nous pousse à nous soumettre à tes commandements. Et là où tes commandements sont acceptés et vécus, là ta Vie resplendie comme un diamant dans toute sa magnificence. Le cœur dans lequel tu habites et que ton Saint-Esprit rempli, connaît une nouveauté de vie car ce cœur s’affectionne désormais aux choses de l’Esprit. Ton Esprit en nous, détourne nos yeux de nous-même et dirige nos regards vers toi Seigneur Jésus-Christ pour te révéler à nous dans toute ta splendeur et nous amener à aimer ta Vie et à vivre de ta Vie pour te glorifier. C’est ainsi qu’avec notre permission, ton Saint-Esprit que tu as fait habiter en nous à notre conversion à toi, opère progressivement notre transformation à ton image. Oui, une vie qui s’est réellement donnée à toi, Seigneur mon Dieu, devient ton chantier où ton Esprit travaille en vue d’y produire ta Vie, Seigneur Jésus-Christ, l’espérance de la gloire. Ainsi, par ta présence dans nos cœurs, ta lumière de gloire resplendit chaque jour toujours plus dans nos vies et nous transforme de gloire en gloire à ta ressemblance (2Corinthiens 3 :18 ; Colossiens 1 :27-29). Seigneur Jésus-Christ, c’est une grâce et un grand privilège pour moi de t’avoir connu. Mais c’est aussi une glorieuse vocation pour chacun de ceux qui ont cru en toi. Car nous ayant fait cette grâce de croire, tu as fait luire ta lumière de Vie dans nos cœurs afin que nos vies fassent resplendir dans l’Eglise et dans le monde, la connaissance de la gloire de Dieu, cette gloire que nous contemplons sur ta face et qui se reflète sur chaque véritable chrétien qui demeure en toi et en qui tu demeures. Le vrai chrétien, est semblable à ta glorieuse image, Seigneur Jésus-Christ. Lorsqu’une Eglise qui doit faire resplendir ta gloire est assombri par les ténèbres parce que devenue le repère du Diable, elle a perdu sa vocation et sa raison d’être dans ce monde. Tu es bien attristé de voir ton Eglise qui porte peu de fruits à ta ressemblance. Ton cœur est brisé quand tu vois que la quantité des gens qui se réclament de toi dans une Eglise reflètent très peu de la qualité de ta Vie qui doit jaillir de leur sein pour se déverser comme une grande lumière et comme un parfum d’agréable odeur à travers le monde. C’est pourquoi, Seigneur Jésus-Christ, vient au secours de ton Eglise, par la victoire de ta résurrection, toute les fois que tu vois que l’huile manque dans sa lampe et que ta lumière vacille en son sein et n ’éclaire plus le monde pour leur montrer le chemin. Seigneur Jésus-Christ, vient au secours de ton Eglise, lorsque tu vois tes brebis perdre la nature de brebis et commencent à ressembler à des chiens en rage prêts à mordre et à faire du mal à d’autres brebis ou à des bergers de tes brebis. Pardonne-nous, Seigneur Jésus-Christ, pour ces caricatures d’images que nous présentons à ce monde par notre témoignage qui terni ton image véritable au lieu de faire resplendir ta véritable image et glorifier ton nom. Seigneur Jésus-Christ, je voudrais que les jours, les semaines, les mois et les années que tu me donnes de vivre encore sur cette terre, soit des occasions que tu me donnes pour faire resplendir la glorieuse lumière du reflet de ton image dans ma vie. C’est aussi pourquoi je veux demeurer chaque jour, chaque semaine et chaque année que tu donnes de vivre, dans tes demeures qui sont admirables. Je veux que ma vie soit le reflet de ton parfum d’agréable odeur pour les populations de ma communauté au milieu de laquelle je vie pour ainsi servir de témoignage en vue d’une meilleure expansion de ton Evangile Libérateur dans ce monde. Etre ton parfum Seigneur Jésus-Christ, c’est te faire connaître à ceux qui sont autour de nous en leur montrant la bonne odeur de l’atmosphère céleste qui habite en nous par ta présence dans nos coeurs et qui se dégage de nos vies pour faire la différence. Je béni à jamais ton saint et glorieux nom mon Seigneur et mon Dieu sur qui repose toute ma confiance. Amen ! ».
Ton ami et frère en Christ,
Pasteur Samuel SANOU
******************************************************************
Pasteur Ossée Simplice, a répondu par des vœux et encouragements le 29/12/2009:
Bonne fête de fin d'année et que le Seigneur vous acorde d'avantage sa force
et sa paix pour l'oeuvre qu'il vous a confiez dans cette région du monde. Celui
qui vous appellez restera fidèle, pour menr à bien son oeuvre en vous et par vous
Salutations à toute l'église de notre part.
Pasteur Ossée Simplice
www.ossee.unblog.fr
******************************************************************
Théophile et Marie, ont répondu par des vœux et encouragement le 29/12/09:
******************************************************************
Mme CROS Jeanine, de France, a répondu le 29/12/2009:
Merci Samuel pour ce message encourageant,
Il reste vrai que nous sommes sans cesse invités, par le Seigneur à " demeurer en Christ et porter du fruit ".
O que notre vie et nos prières soient véritablement un parfum de Christ ;
Que le Seigneur garde chacune de ses brebis, qui partage sa souffrance, devant les pratiques que Son Saint-Esprit, ne peut approuver.
Merci, Samuel pour ton exemple de pardon, comme le Seigneur nous le demande ; Merci au Seigneur qui parle au cœur, et pousse certains à la repentance , et d'autres à la persévérance dans l'épreuve.
Nos soupirs sont inscrits dans son ciel !.
Notre Seigneur reste Le Vainqueur ! ; A lui soit toute la gloire ! Amen.
Bien fraternellement.
Jeanine.
******************************************************************
Pasteur Rodolphe GOZEGBA, de Centrafrique, a répondu le 28/12/2009:
Bonjour cher bien-aimé,
C'est avec un plaisir inexplicable que chaque semaine, j'ouvre et je lis votre mail. Je voudrais ici en un mot, vous dire toutes mes félicitations pour vos efforts, vos approches multiples et votre style de me montrer tous les événements que l’église a vécus! Je trouve vos photos très intéressantes, très bien faites et de bonnes qualités. Sachiez que toutes ces choses sont lues et vues avec beaucoup d’intérêt, voire penchant. C’est pourquoi je ne peux que vous remercier surtout pour des connaissances que vous m'apportez à travers ce que vous faites nuit et jour. Merci infiniment et vous prie à continuer dans cette voie.
Je n’oublie pas l’équipe avec qui vous travaillez ensemble. Que le Seigneur la bénisse et qu’il la donne des possibilités vers la productivité.
Que le Seigneur bénisse son église et qu’il vous garde.
Pasteur Rodolphe
******************************************************************
Justin Muzindusi, du Kenya, a répondu le 28/12/2009:
Chers amis Samuel et Louise,
******************************************************************
Marc DE Booker, de la Belgique, a répondu le 28/12/2009:
******************************************************************
Georges et Mado CARLET, de France, ont répondu le 28/12/2009:
Amitiés en CHRIST de Georges et Mado.
******************************************************************
Pasteur Jean-Marc AUSSET, de France, a répondu le 28/12/2009:
SIMPLES PAROLES D’HOMME ? à toi de juger !
Nombreux sont les hommes dont le nom est resté gravé dans le annales de l’humanité soit en raison des vertus de leur vie, soit de la bassesse de leurs actes : hommes d’Etat, poètes, militaires, politiciens, écrivains, musiciens ou philosophes qui ont laissé des traces de leur passage ici-bas, mais que le temps a érodé ou recouvert du limon de l’oubli.
Seuls témoins de leur notoriété passée, quelques-unes de leurs paroles rendues célèbres leur subsistent encore par la symbolique qu’elles véhiculent.
- C’est le « tu quoque, mi fili » toi aussi, mon fils , qui exprime toute la douleur de César lorsqu’il aperçoit au nombre de ses assassins , Brutus, son fils adoptif.
- C’est le « euréka » d’Archimède qui exprime sa joie lorsqu’il découvre, soudain, dans son bain , la loi de la poussée éponyme , sur les corps plongés dans l’eau.
- C’est le cri d’orgueil de César : « véni, vidi, vici » , je suis venu, j’ai vu, j’ai vaincu , qu’il adresse au Sénat pour dire la rapidité de sa victoire sur Pharnace, le roi du Pont.
- C’est cette parole présomptueuse du poète latin Horace qui dit au 1° siècle de notre ère : « je ne mourrai pas tout entier car mon œuvre me survivra ».
- C’est le cri d’amertume de Cicéron qui s’élève contre la perversité des hommes de son temps : « o tempora, o mores, » o, temps, o, mœurs !
- C’est ce cri de fol orgueil que jette à la face du monde, Néron, au moment où il va être égorgé : « qualix artifex pereo ! » quel grand artiste périt avec moi
La liste serait longue de tous ceux dont les paroles ont eu, en leur temps, leur place dans le langage courant !
Mais, qu’en est-il aujourd’hui des « alea, jacta est » , le sort en est jeté , prononcé par César devant le Rubicon, ou des « j’y suis, j’y reste » de Mac Mahon ?
Des mots, rien que des mots dont seuls les dictionnaires spécialisés portent la trace !
Et que dire de ceux qui les ont prononcés ?!
Qui donc se souvient de César, d’Archimède,d’Horace , de Néron ou de Cicéron , sinon une poignée d’étudiants, de professeurs de lettres classiques de préférence ou d’histoire , pour lesquels ils constituent un passage obligé ?
Quel impact, ces grands hommes, ont-ils dans le quotidien de nos contemporains ?
Mais voici que, défiant les outrages du temps et les contingences de l’espace, se fait entendre une déclaration inouïe :
« les cieux et la terre passeront, mais mes paroles ne passeront pas ! » (Evangile de Matthieu ch24v35).
Qui donc a osé prononcer de telles paroles qui défient la raison humaine ?
C’est celui-là même qui, à Jérusalem, lors de son interrogatoire par le souverain sacrificateur, chef des autorités religieuses juives qui lui demandait : « je t’adjure par le Dieu vivant de nous dire si tu es le Christ, le Fils de Dieu ! » répondit : « tu l’as dit ! ».
Une telle affirmation qui ne pouvait conduire son locuteur qu’à une condamnation certaine, porte en elle le sceau de la vérité et de la sincérité .
C’est ce Jésus, le Christ, le Fils de Dieu, dont la mémoire n’a été effacée ni par le temps ni par les calomnies que je vous invite à rencontrer et à découvrir au travers de ces quelques lignes.
Sa résurrection, qui est l’évènement le plus marquant et le plus glorieux de toute l’histoire humaine, marque du sceau de la vérité et de l’authenticité l’ensemble de ses paroles et de ses discours .
Son message d’amour a bouleversé des vies, transformé et transcendé des existences chétives et, aujourd’hui encore, il poursuit partout sur cette terre son œuvre de salut .
Ni empereur, ni général, ni philosophe, ni mathématicien mais simple fils de charpentier de la bourgade de Nazareth, son nom brille encore en lettres de feu car, Jésus-Christ, est aussi le Fils de Dieu !
« Jamais homme n’a parlé comme cet homme ! » ( Evangile de Jean ch7v46) ainsi s’exprimèrent les huissiers devant les sacrificateurs, témoins directs de sa crucifixion .
Mais, quelles furent donc ces paroles qui suscitèrent telle appréciation ?
Ecoutez seulement celui qui les a prononcées et jugez-en vous-mêmes !
Evangile de Jean ch 14 v 6 :
« Je suis le chemin, la vérité, la vie. Nul ne vient au Père que par moi ! » ( le Père désigne ici Dieu )
Evangile de Jean ch 11 v 25 :
« Je suis la résurrection et la vie. Celui qui croit en moi vivra, quand même il serait mort ! »
Ces paroles portent en elles un ferment de révolution tant elles bouleversent nos critères de jugements et nos schémas de pensées ! Mais, il s’agit ici d’une révolution spirituelle dont le concept est étranger à nos modes traditionnels de classification des phénomènes psychologiques et physiques.
Et, cependant, force nous est de constater qu’il s’agit aussi d’une réalité dont peuvent témoigner tous ceux et toutes celles qui en ont fait l’expérience au cours des âges et qui peuvent décrire les changements intérieurs qu’ils ont vécus lorsqu’ils ont accepté cette parole comme véridique et digne de foi ..
Ces paroles du Christ interpellent tous ceux qui les entendent en raison même de leur densité et de leur caractère extra-ordinaire .
Nul autre que le Fils de Dieu lui-même, ne pouvait en être l’auteur, tant leur portée dépasse ce que l’homme le plus inventif et le plus hardi est capable de concevoir.
Les textes évoqués , parlant de résurrection et de vie, laissent éclater la grandeur et la gloire du Fils de Dieu, en même temps que sa puissance, victorieuse de la mort même.
Cependant, la grandeur de Jésus-Christ prend toute sa mesure lorsqu’il évoque sa propre mort sacrificielle.
Matthieu 20v26 :
« le fils de l’homme est venu, non pour être servi, mais pour servir et donner sa vie comme rançon de plusieurs . »
Jean 15 v12 :
« Il n’y a pas de plus grand amour que de donner sa vie pour ses amis. Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. »
A n’en pas douter, si vous avez poursuivi votre lecture jusqu’à cette ligne, c’est que Jésus-Christ, par ses paroles , a su retenir votre attention . Je vous invite à mieux le connaître en le découvrant au travers de ses biographies que nous livrent le Nouveau Testament .
Une dernière de ses paroles qui ne devrait pas vous laisser indifférents est tirée de l’Evangile de Jean ch 3 v 16 :
« Car Dieu a tellement aimé le monde, qu’Il a donné son Fils unique, afin que quiconque croit, ne périsse pas mais qu’il ait la vie éternelle. »
Simples paroles d’hommes ? Qu’en pensez-vous ?
Jean-Marc AUSSET , le 28 octobre 2009